6 types de parents qui rendent les enseignants fous

Lorsque les choses ne se passent pas comme la famille le souhaiterait à l'école, les apprenants doivent souvent faire face à de nombreuses difficultés. En effet, les mauvaises notes ou les programmes scolaires prétendument "erronés" ne sont pas si facilement acceptés par les parents. On négocie, on négocie et on justifie. Ces six types de parents rendent les enseignants fous. Et vous, lequel êtes-vous ?

par Sabrina

08/04/2017, 18:53

Qu'il s'agisse d'une mauvaise note, d'un programme scolaire inadapté ou de l'absence de repas sans gluten à la cantine scolaire, il y a ce genre de parents qui doivent discuter de tout.

Les marchands de notes

La remise des bulletins de notes approche ? Ils sont alors en pleine forme : "Ne pourrait-on pas transformer le 3+ en 2 ? Cela motiverait totalement notre fille ...". Pour eux, les notes sont une pure affaire de négociation - et il serait risible de laisser les enseignants s'en charger.

Les "Istes" des médias sociaux

Ils sont certes présents à chaque événement scolaire, mais pas vraiment présents. Et encore moins abordables. Car ils sont invariablement occupés à prendre des photos, à filmer et à présenter fièrement leur favori sur Facebook.

Les parents hélicoptères

L'autonomie, c'est pour moi ? Pour mon enfant ? Déjà maintenant ? Jamais, au grand jamais ! Les parents hélicoptères ont certes de bonnes intentions, mais en tournant sans cesse autour de leur enfant et en se mêlant de tout, ils mettent régulièrement les enseignants sur les nerfs. Chaque événement en classe doit alors être discuté et chaque décision est remise en question.

Les turbo-parents

"Votre fils a 10 ans et n'a pas encore de diplôme ? Oh, oh, si cela va bien ... Ma fille a un A dans toutes les matières, joue du violon dans un orchestre, s'entraîne quatre fois par semaine à la danse classique, est la meilleure en rhétorique et fait un stage dans un laboratoire de chimie pendant les vacances. Qu'en pense-t-elle elle-même ? Je ne sais pas, je ne lui ai jamais demandé".

Les défenseurs de la paresse

"Mon enfant n'est pas paresseux. Il a simplement tellement d'intérêts qu'il ne peut pas toujours s'occuper de ses devoirs". Nan, c'est clair. Et cela aidera certainement l'enfant plus tard dans sa vie professionnelle s'il intériorise cette façon de penser.

Les parents ouatés

Ils voient partout des dangers menaçants pour leur progéniture et veulent protéger leurs chéris de toutes leurs forces. Surtout à l'école : des contenus d'apprentissage "inappropriés" et des cabrioles dans la cour de récréation, de la nourriture de cantine contenant du gluten - bref : de la vie. Car "notre fils est si sensible". Nan, il est probablement juste énervé.